La nouvelle Lexus IS a parcouru plus d’un million six cent mille kilomètres dans le cadre d’un programme d’essais et de développement, soit deux fois la distance aller-retour de la lune à la terre.
Les essais de la toute nouvelle IS se sont déroulés sur route, sur circuit et en laboratoire pour la pousser jusqu’à ses limites extrêmes sur la glace et dans les neiges de l’hémisphère sud, dans la chaleur de l’hémisphère nord et sur les circuits impitoyables du Nürburgring en Allemagne et du Fuji Speedway au Japon.
Comme l’explique l’ingénieur en chef de l’IS, Junichi Furuyama, si la nouvelle IS est aussi “plaisante” à conduire, elle le doit à une nouvelle logique de développement qui a accordé la priorité absolue au comportement dynamique devant toutes les autres fonctions.
"Dans une démarche conventionnelle, on développe chaque aspect du véhicule séparément avec le plaisir de conduire comme résultat, un peu comme une pyramide dont on pose les fondations avant de l’élever peu à peu”, ajoute-t-il.
"Le problème de cette approche est qu’elle ne garantit absolument pas d’atteindre l’expérience de conduite désirée. Le développement de la nouvelle IS a inversé cette logique. Il a d’abord créé le plaisir de l’expérience de conduite qui sera perçu par les automobilistes comme la pointe de la pyramide, et a ensuite décliné les éléments constitutifs de cette performance," conclut Junichi Furuyama.
Ce procédé de développement a débouché sur l’utilisation de nouvelles techniques de renforcement de la caisse dont le soudage des vis au laser et le collage structurel des panneaux de carrosserie (avec un total de 25 mètres linéaires sur la nouvelle IS) et l’adoption d’une suspension offrant une résistance au roulis en hausse de 20%.
